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Voyage

Exposition - Symptomicon

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visuel com Symptomicon
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© Béatrice Biron

Symptomicon

Exposition photographique de Béatrice Biron

En partenariat avec l’association étudiante Multiregard et dans le cadre du Festival Off Glaz

Inspirée du style Harcourt, célèbre pour ses portraits en noir et blanc sculptés par la lumière, Symptomicon détourne cette esthétique pour sonder les profondeurs de l’identité humaine. Ce projet, porté par Béatrice Biron, étudiante en psychologie, interroge la complexité de la personnalité : ce que nous montrons, ce que nous taisons, et ce que les autres perçoivent.

Chaque modèle est photographié en trois temps, incarnant les instances freudiennes du ça, du moi et du surmoi. Le premier portrait, uniforme et frontal, révèle le « soi social », ce que l’on accepte d’offrir au regard d’autrui. Le second, plus intime, s’attache à dévoiler une part cachée, entre fragilité, rêve et désir. Enfin, le dernier cliché propose une interprétation libre du modèle, telle que l’artiste le perçoit.

À l’heure où l’image façonne nos rapports, Symptomicon explore les tensions entre apparence et intériorité, visibilité et oubli. C’est une invitation à regarder autrement celles et ceux qui nous entourent et à s’interroger : Que connaissons-nous vraiment des autres, au-delà de ce qu’iels veulent bien laisser paraître ?

À noter : Cette exposition s’inscrit dans le Festival Off Glaz, événement photographique alternatif et engagé, porté par l'association étudiante Multiregard, en parallèle du festival Glaz, autour du thème commun : Des actes d’amour et de rébellion. Plus d’informations.

Appel à projet : Vous êtes étudiantes ou étudiants et vous souhaitez exposer sur la Mezzanine ? Contactez : laura.donnet [at] univ-rennes2.fr (laura[dot]donnet[at]univ-rennes2[dot]fr) !

Exposition - LÀ

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visuel expo Là Noé voisin
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© Noé Voisin

Exposition photographique de Noé voisin

Pour cette première exposition, Noé Voisin vous emmène au cœur de ses voyages.
Chacune de ces photographies représente un fragment de souvenir : au détour d’une rue au Viêt Nam, au milieu des montagnes au Népal, dans l’intimité des fjords de l’Islande.

Noé commence des études mais ne s’y trouve pas. Il souhaite ne plus simplement rêver, mais voyager, agir, ressentir. Il prend ses billets sur un coup de tête et, une fois arrivé, appelle ses parents :
« Je ne suis pas à Brest, je suis à Katmandou. »

En guise de titre à ses œuvres, Noé fait le choix de donner le moment exact et le lieu précis où les photographies ont été prises.

Quelques mois avant son voyage, le 29 novembre 2023, Noé écrit :
« Tous les jours mes projets changent. Sorte de quête constante de soi, de recherche infinie. Chaque jour je me persuade que je vais faire ce truc de ma vie, que je vais suivre cette destination, atteindre ce but, mais il n'en est jamais rien.

Alors aujourd’hui, j’ai envie de tester un truc, pour voir. Je vais suivre ce que je veux faire pour une fois (facile à dire dans l’instant, demain je voudrais faire autre chose).

Ce qui nous lie de Klapisch m’a donné envie de voyager alors pourquoi pas suivre ce truc-là.

Aujourd’hui, je décide que ce que j’écris là je vais le tenir : début 2024, je pars. J’ai tendance à trop en dire, à survendre des choses que je ne fais jamais alors cette fois-ci je n’en parle à personne. »

— Noé Voisin
Avec la collaboration de Sophie Le Luyer
 

Vernissage mardi 14 janvier à 18h dans le hall du Tambour. 
Cet événement sera l'occasion pour l'équipe du service culturel de vous présenter les événements à venir lors du second semestre.

Contenu du texte déplié

Distributions : Voisin Noé ; Université Rennes 2
Coproductions / Soutiens : Sophie Le Luyer ; Jeanne Hernandez

Festival Transversales - Itinérance

Une boussoule dorée sur fond noir
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© Service culturel

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Pour sa 12e édition, le festival Transversales s’empare de la notion d’itinérance : il s’agira d’interroger les formes artistiques et littéraires plaçant au premier plan le mouvement, le déplacement d’un lieu à un autre, d’un espace concret ou métaphorique à un autre.

Le point de départ de cette programmation est le thème du voyage, abordé de façon résolument engagée : il s’agira moins de mettre en lumière le voyage dans sa forme anodine et occidentalisée qu’est le tourisme, que des mobilités chargées d’une valeur forte, de l’exil à l’errance, en passant par l’itinérance ontologique ou métaphysique et les formes de quête de soi par le déplacement.

À petite ou grande échelle, de la déambulation urbaine et poétique aux migrations anciennes et contemporaines, de la flânerie dix-neuvièmiste à la psychogéographie situationniste, des divagations picaresques et aventureuses aux explorations fictives et réelles qui jalonnent notre histoire, le festival mettra au premier plan l’idée de mouvement : d’où part-on ? où arrive-t-on ? l’itinérance a-t-elle un point final ? par quoi est‑elle suscitée, et que produit-elle ?

Mots clés
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