Service culturel

Photographie

Exposition - LÀ

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visuel expo Là Noé voisin
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© Noé Voisin

Exposition photographique de Noé voisin

Pour cette première exposition, Noé Voisin vous emmène au cœur de ses voyages.
Chacune de ces photographies représente un fragment de souvenir : au détour d’une rue au Viêt Nam, au milieu des montagnes au Népal, dans l’intimité des fjords de l’Islande.

Noé commence des études mais ne s’y trouve pas. Il souhaite ne plus simplement rêver, mais voyager, agir, ressentir. Il prend ses billets sur un coup de tête et, une fois arrivé, appelle ses parents :
« Je ne suis pas à Brest, je suis à Katmandou. »

En guise de titre à ses œuvres, Noé fait le choix de donner le moment exact et le lieu précis où les photographies ont été prises.

Quelques mois avant son voyage, le 29 novembre 2023, Noé écrit :
« Tous les jours mes projets changent. Sorte de quête constante de soi, de recherche infinie. Chaque jour je me persuade que je vais faire ce truc de ma vie, que je vais suivre cette destination, atteindre ce but, mais il n'en est jamais rien.

Alors aujourd’hui, j’ai envie de tester un truc, pour voir. Je vais suivre ce que je veux faire pour une fois (facile à dire dans l’instant, demain je voudrais faire autre chose).

Ce qui nous lie de Klapisch m’a donné envie de voyager alors pourquoi pas suivre ce truc-là.

Aujourd’hui, je décide que ce que j’écris là je vais le tenir : début 2024, je pars. J’ai tendance à trop en dire, à survendre des choses que je ne fais jamais alors cette fois-ci je n’en parle à personne. »

— Noé Voisin
Avec la collaboration de Sophie Le Luyer
 

Vernissage mardi 14 janvier à 18h dans le hall du Tambour. 
Cet événement sera l'occasion pour l'équipe du service culturel de vous présenter les événements à venir lors du second semestre.

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Distributions : Voisin Noé ; Université Rennes 2
Coproductions / Soutiens : Sophie Le Luyer ; Jeanne Hernandez

Exposition collective - « Quels problèmes les artistes éditeurices peuvent-iels résoudre ? »

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Visuel Atelier téméraire_a-f-1
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Atelier téméraire a-f-1 

Exposition collective | « Quels problèmes les artistes éditeurices peuvent-iels résoudre ? »

Avec les collectifs Atelier téméraire, Burn~Août, How to Become
Commissariat : Émeline Jaret & Yann Sérandour, galerie art & essai

La galerie art & essai invite trois collectifs d’artistes et auteur·rices-éditeur·rices français à s’installer au Cabinet du livre d’artiste de l'université Rennes 2 : Atelier Téméraire, Burn~Août, How to Become. Cette exposition s’intéresse aux formes de productions collectives dans les publications d’artistes récentes comme espaces d’un faire ensemble renouvelé. Elle propose une sélection d’éditions et d’ephemera comme autant d’exemples où la publication possède un rôle central dans la construction et la vie d’un collectif artistique. Empruntant son titre à la publication de l’un des collectifs invités : « Quels problèmes les artistes éditeurices peuvent-iels résoudre ? », elle met en relation les formes produites et les modalités d’organisation de ces collectifs qui témoignent de l’actualité de l’art à travers ses enjeux plastiques, économiques et politiques. 

 

Vernissage le mardi 5 novembre à 18h au Cabinet du livre d’artiste.

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Fondé en 2018, Atelier Téméraire est un collectif de graphistes-artistes qui déploie des pratiques éditoriales tournées vers la critique sociale, l’anarchisme et le design graphique comme outil politique. L’Atelier Téméraire publie des éditions souvent en risographie ou à l’aide d’imprimantes laser, parfois avec de la sérigraphie. Différentes collections y sont développées : des textes d’autrices féministes, des textes traitant de graphisme contemporain, des textes antifascistes ainsi que objets éditoriaux mêlant fiction et prise de position politique. Depuis 2023, une revue est initiée autour des pratiques du graphisme engagé.

 

Burn~Août est une maison d’édition associative fondée en 2020 et composée de cinq artistes et éditeurices regroupé·es en un collectif depuis 2019. Dans une de leurs publications, L’histoire de Semiotext(e), Sylvère Lotringer raconte ses rêves à Chris Kraus et dit que « les textes sont moins importants que les maillages qu’ils produisent ensemble ». Ce sont ces maillages qui intéressent Burn~Août dans un travail qui est avant tout un prétexte pour créer une force collective, imaginer des alternatives possibles à une société centrée sur l’exploitation, la croissance et le profit. Chaque projet que nous menons avec une artiste, une auteurice, une chercheureuse est pensé comme une collaboration, comme un acte de cocréation. Depuis 2020, Burn~Août a publié une vingtaine de publications, dont Vandalisme queer (Sara Ahmed, 2024) ; La morale de la Xerox (Clara Lobregat Balaguer et Florian Cramer, 2024) Politiser l’enfance (dir. Vincent Romagny, 2023).

 

How To Become (HTB) est une maison d’édition basée à Paris et en banlieue, créée en 2016 et devenue association en 2021. Elle est composée d’artistes et d’écrivain·es en majorité gouines. Reposant sur l’autogestion, elle publie de la littérature expérimentale ainsi qu’un choix de traductions d’auteur·ices non traduit·es en langue française. La « ligne éditoriale » d’HTB a pour objectif la diffusion de textes ancrés dans des pratiques queer-féministes et peu diffusé·es en France. HTB est aussi liée à un projet pédagogique : des ateliers d’écriture et de recherche à l’intérieur desquels les membres du collectif partagent leurs propres textes, traduisent collectivement des auteur·ices, arpentent des livres et discutent des subjectivités queers dans la littérature et dans l’art en s’intéressant aux formes spécifiques qu’elles produisent. Ces ateliers, gratuits et en mixité choisie (sans mecs cis hétéro), donnent lieu à la publication d’une revue dont le dernier numéro est le #5 : How To Become The Daughters of Darkness (2023).

Logo de La galerie art & essai
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Logo de La galerie art & essai © Camille Depalle

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Exposition - The Levitation Project by Forgetmat 

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Personne qui vole
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AMERICAINE # 1 (Vélodrome National, SQY, France, 2022) © Forgetmat

THE LEVITATION PROJECT BY FORGETMAT
EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE DE MATHIEU FORGET

 

Mathieu Forget alias Forgetmat est un artiste en mouvement.

Originaire de Paris, danseur, photographe et directeur artistique, il incarne une nouvelle vision de la danse autant digitale que réelle. Ancien joueur de tennis, Forgetmat aspire à promouvoir la liberté d’expression, le dépassement de soi-même et challenge notre perception du monde. Son art est de capturer en photo un moment éphémère de son mouvement en lévitation. Grâce à ses photos et ses vidéos, cet artiste pluridisciplinaire également connu sous le nom de « Flying Man » défie les lois de la physique et contribue à mélanger les styles. Il partage ses créations sur les réseaux sociaux et démocratise l’art avec sa galerie accessible dans le monde entier.

À travers ses mouvements il rend grâce à la musique, la photographie et le monde audiovisuel. Passionné par l’architecture, les lignes et les couleurs, Forgetmat met en valeur le monde qui l’entoure en créant des concepts vertigineux et poétiques. Après de nombreuses collaborations avec des artistes, athlètes et marques internationales, Forgetmat continue à aller à la rencontre de nouveaux univers créatifs et présente aujourd’hui son premier projet en nom propre, « The Levitation Project by Forgetmat ».

Cette exposition est produite par le service culturel de l’Université Rennes 2.


Exposition - Étoile Rétine

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Photographie avec des couleurs intenses de Marguerite Bornhauser
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©Marguerite Bornhauser

Étoile rétine

Exposition photographique de Marguerite Bornhauser

Les séries de Marguerite Bornhauser, telles que « Plastic Colors », « Moisson rouge » et « When Black is Burned », montrent son obsession pour la couleur. Pour elle, la couleur n'est pas seulement un sujet, mais une manière de percevoir et de représenter le monde. 

Ses oeuvres capturent des fragments de vie quotidienne avec une esthétique unique, la parmi les photographes françaises contemporaines les plus importantes. Influencée par William Eggleston et Wolfgang Tillmans, Marguerite Bornhauser utilise la couleur pour transformer la réalité en images poétiques. Son premier projet majeur, « Plastic Colors », explore des tons artificiels intensifiés, tandis que « Moisson Rouge » et « When Black is Burned » présentent des couleurs plus subtiles, en raison de son intérêt pour les corps et les plantes. 

Elle joue avec la juxtaposition d'images pour révéler une complexité chromatique et crée des diptyques qui enrichissent son langage visuel. La photographe s'inspire également de Dashiell Hammett, Henri Matisse et Gaston Bachelard, partageant leur sensibilité à la couleur. Elle transforme la couleur en un processus créatif, explorant de nouveaux supports comme le Cibachrome et l'impression sur tissu, redéfinissant notre perception du monde.

Marguerite Bornhauser est représentée par la Galerie Carlos Carvalho (Portugal) et l’Agence FMA le bureau.

Exposition - Traverser la nuit

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Paysage naturel de nuit et pointillés colorés
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© Sabatina Leccia

TRAVERSER LA NUIT, EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES BRODÉES PAR SABATINA LECCIA
En partenariat avec Sirennes, festival des cultures de l'imaginaire

Vernissage : le mardi 19 mars à 18h en présence de l’artiste

Les compositions de Sabatina Leccia donnent à voir des paysages étranges qui invitent à la déambulation onirique. Originaire du cap Corse, elle a passé enfant des heures entières à contempler ces montagnes qui se jettent dans la mer, à regarder les couleurs du ciel et les formes évanescentes des nuages.

Dans ses œuvres brodées comme dans ses photos et plus généralement dans son travail artistique, elle tente de s’affranchir de la technique pure pour mieux s’essayer à l’expérimentation : « J’aime les accidents, les images altérées, j’aime éprouver la matière de manière sensible et poétique. » Suite à l’obtention de la bourse Transverse 2022 (avec le soutien de l’Adagp et l’association Freelens) en binôme avec la photographe Clara Chichin, elle commence à intégrer la photographie dans son travail. « À la suite de notre collaboration, j’ai tout de suite voulu expérimenter la matière photo avec les techniques que j’utilisais auparavant dans mes dessins contemporains, à savoir la broderie ou le perçage du papier à l’aiguille. Je trouve qu’elles viennent sublimer et poétiser certainement les détails. »

Depuis 2022, Sabatina Leccia développe également ses propres paysages photographiques en associant plusieurs images entre elles, en modifiant les couleurs puis en les brodant et en les perforant pour créer des paysages troublants et chimériques. Pour la Chambre claire, elle a conçu spécialement 23 tirages issues de sa série TRAVERSER LA NUIT. Elle propose ainsi au regard une constellation d’images hybrides qui peuvent faire penser à des images « rêvées » que nous fabriquons la nuit. Ce moment d’abandon où les repères se perdent et permettent la rencontre et la fusion de territoires et d’énergies inattendus.


ATELIER
Étudiant·es et personnels de Rennes 2, initiez-vous à la broderie sur photo avec Sabatina Leccia. Infos et inscriptions.


La saison culturelle de l'Université Rennes 2 est soutenue par le webzine culturel Unidivers.

Logo Unidivers

Exposition - LES TRANSPORT·é·es

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Affiche illustration montagne
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Affiche Transmusicales 2023

LES TRANSPORT·É·ES, UNE EXPOSITION DES ÉTUDIANT·ES DU DIU ORA

À l’occasion des #JACES2024, Journées Arts & Culture dans l’Enseignement Supérieur

Vernissage : lundi 18 mars à 18h dans le hall du Tambour

Les étudiant·es du DIU ORA se sont transporté·es aux 45e Rencontres Transmusicales !

Sélectionné·es pour un Parcours Trans, les étudiants et les étudiantes du DIU ORA lancent TRANSPORT·é·es, leur média dédié aux Transmusicales. Ensemble, ils et elles réalisent un podcast, un fanzine et une exposition photographique à découvrir au Tambour, sur le thème des frontières en festival.

La rédaction a tout d’une grande : journalistes, secrétaires de rédaction, photographes, rédactrice en chef, iconographes, ingénieur du son, scénographe d’exposition, (…) : l’idée est de toucher du doigt la chaîne de fabrication éditoriale et de s’initier aux techniques journalistiques tout en se prêtant au jeu des métiers de l’image & du son.

Éclectique, TRANSPORT·é·es s’empare du thème des frontières, qu’elles soient musicales, culturelles ou intergénérationnelles. Le média, porté exclusivement par les étudiant·es, ambitionne de raconter l’iconique festival rennais sous un œil neuf. L’idée est de mettre en mots, en images et en ondes celles et ceux qui se transportent de l’ombre à la lumière des Trans.

Un projet qui s’inscrit dans le cadre du cours « Expressions et Langages » du DIU ORA - Diplôme Inter Universitaire s’Orienter Réfléchir Agir - co-porté par l’Université Rennes 2 et l’Université de Rennes.

Le Parcours Trans, qu’est-ce que c’est ? C’est un parcours pédagogique et culturel proposé par l’association Les Trans. Son but : accompagner différents publics à la découverte des Transmusicales et plus largement de la scène rennaise.

Exposition - Autoportraits dénudés

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Quelqu'un nu sur le dos
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© Un corps

AUTOPORTRAITS DÉNUDÉS

EXPOSITION COLLECTIVE ET PARTICIPATIVE

Dans le cadre du focus sur le désir

Les membres du laboratoire ERIMIT - Mémoires, Identités, Territoires (UFR Langues - Université Rennes 2) se sont donné·es comme objectif de réfléchir aux notions d’intimité et d’extimité. Dans ce cadre, ils et elles se sont penché·es sur le concept de « nude », ces autoportraits intimes que l’on envoie à l’élu·e de son cœur ou de son corps (ou les deux).

La recherche menée se matérialise sous la forme d’une exposition d’autoportraits intimes collaborative. Des citoyens et des citoyennes issu·es de la société civile ont répondu à un appel à contribution en envoyant leurs autoportraits dénudés, tandis que les cartels d’exposition ont été rédigés par des spécialistes de la question du corps, du genre, de la représentation, de l’intimité, de l’extimité (chercheur·ses, photographes, commissaires d’exposition, artistes, sociologues, psychologues…).

Ce projet de recherche où convergent société scientifique et civile souhaite faire émerger de nombreux questionnements : que nous disent ces autoportraits de notre rapport au corps, à la séduction, à l’érotisme au XXIe siècle ? Ces portraits peuvent-ils contribuer à déconstruire certains codes culturels ? Le corps peut-il être l'expression de l’individualité ou d’un discours personnel ? Dans tous les cas, il s’agira de porter un regard bienveillant sur ces corps révélés dans le consentement.

Vernissage jeudi 28 mars à 17h dans le hall du bâtiment L, précédé d'une table ronde autour des enjeux du corps dénudés.

Une exposition organisée en partenariat avec le service culturel de l’Université Rennes 2 et la galerie d’art L’Artère, située à Quimperlé, où l’exposition sera ensuite présentée en mai et juin 2024.

À NOTER : La scénographie de cette exposition a été pensée pour préserver la pudeur des personnes exposées et des spectateur·rices.


Table ronde autour des enjeux du corps dénudés

Jeudi 28 mars, 14h, salle L201 (bât. L)

Sophie Barel, Chercheuse en Sciences de l’Information et de la communication. Elle prépare une thèse intitulée « Des murmurations. Mise en scène de soi et expression politique féministe : dire et montrer le corps sur les réseaux sociaux numériques ».

Sylvain Villaret, Maître de conférences en histoire contemporaine et STAPS à Le Mans Université. Il est Historien du corps, du sport et de l’éducation physique et s’intéresse aux pratiques corporelles et éducatives liées au naturisme et à la nudité militante au XXe siècle.

Informations et inscriptions à la table ronde : anne.puech [at] univ-rennes2.fr (anne[dot]puech[at]univ-rennes2[dot]fr)

Exposition - Nuit blanche

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Couloir abandonné
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Nuit blanche © Anne-Laure Deylaud

NUIT BLANCHE, PHOTOGRAPHIES D’ANNE-LAURE DEYLAUD

Nuit blanche est une série photographique intime qui évoque l’état de dissociation que l’on peut ressentir suite à des événements traumatiques. Un univers sombre surgit alors de ces images imprégnées par l’influence du romantisme noir. Entre ruines et paysages hallucinés, ces ambiances brumeuses et incertaines semblent vouloir saisir les espaces et les corps.

Ces derniers se devinent plus qu’ils ne s’observent : ils relèvent davantage de la projection mentale que d’une réelle figuration. Dans une pratique instinctive et viscérale, les clichés sont saisis de façon frontale pour effacer toute distance avec l’appareil. Les membres ainsi malmenés interrogent sur un rapport au corps ambigu tandis que les silhouettes évanescentes évoquent ce que les émotions violentes produisent en nous.

Projet soutenu par le CROUS Rennes Bretagne.

Rencontre + lecture - Linda Tuloup et Yannick Haenel

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Photo d'une femme
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Linda Tuloup © Hervé Baudat

Un homme assis devant une bibliothèque
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Yannick Haenel © Linda Tuloup

RESERVER SA PLACE

RENCONTRE ET LECTURE AVEC YANNICK HAENEL ET LINDA TULOUP
Dans le cadre du focus sur le désir

En lien avec l'exposition photographique Vénus de Linda Tuloup

Avec Yannick Haenel, écrivain et Linda Tuloup, photographe plasticienne.
Ensemble, iels ont publié deux livres : Vénus – où nous mènent les étreintes (Bergger éditions, 2019), La nuit souterraine (éditions Les petites allées, collection Pour dire une photographie, 2023).

Que voyons-nous ?
Ce sera le fil de leur conversation : le mystère de ce qu’on voit. Et ce lien invisible entre l’encre des phrases et celle des photographies. Mais il sera aussi question de désir, d’aube et de crépuscule, de feu, de grotte, de lumière, de nudité, d’effacement, de trace, de révélation. Nous plongerons lentement dans la nuit souterraine dans l’espoir de « remonter vers la lumière ».

« Qu’est-ce qui s’ouvre de lisière en lisière ? Qu’est-ce qui se murmure, ici, de lèvres à lèvres ? Quel est ce chant cru qui ruisselle avec une pudeur si violente ? Je vais serrer si fort tes poignets que nous nous effacerons. Dans les étreintes, le temps jaillit, le monde disparaît pour revenir enfin en tant que monde. Dans les étreintes, nos yeux s’ouvrent comme si nous avions enfin des yeux. Dans les étreintes, la nuit s’éclaire enfin, elle nous fait naître. » Yannick Haenel

Yannick Haenel dirige la revue de littérature Aventures aux éditions Gallimard. Il écrit des romans, dont Le Trésorier-payeur (Gallimard, 2022) ou Tiens ferme ta couronne (Gallimard, 2017, prix Médicis) et des essais sur la peinture, dont Bleu Bacon (Stock, « Ma nuit au musée », 2024) ou La Solitude Caravage (Fayard, 2019).

Linda Tuloup est représentée par la galerie Olivier Waltman (Paris / Londres). Son travail fait l’objet de nombreuses expositions et publications en France et à l’étranger. Dernière exposition solo : Le feu, les pierres (Otto Gallery, Belgique, 2023). Ce sont des rites intimes qui débordent l'espace : des polaroids dont elle passe la matière à la flamme, des pierres sur lesquelles elle révèle ses images, des films photographiques, dont le film FEU (2021).

AVANT LA RENCONTRE
Assistez au vernissage de l'exposition Vénus à 18h à la galerie La Chambre claire. Plus d'infos.

Danse - Festival Waterproof

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Affiche de danse
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Affiche du Festival Waterproof, plongez dans la danse !

FESTIVAL WATERPROOF, PLONGEZ DANS LA DANSE !

Le Festival Waterproof vous invite à plonger dans le grand bain de la danse d’aujourd’hui et de demain ! Dans plusieurs lieux de la métropole rennaise et même au-delà, le festival propose des spectacles de danse, des expériences, des performances, un marathon de la danse, des ateliers, des projections et des rencontres…

L’Université Rennes 2 est partenaire de ce temps fort rennais ! Dans ce cadre, découvrez les propositions au sein de la saison culturelle ainsi que celles émanant de la communauté universitaire :

 

Attention le début de l'exposition est reportée à une date ultérieure !

Du 29 janvier au 28 juin
Exposition à découvrir en plein air sur le Campus Villejean - Université Rennes 2

 

  • Restitution d’atelier du Groupe Chorégraphique Universitaire

Mardi 6 février, 19h, Hall du Tambour
Découvrez la performance du GCU réalisée en collaboration avec la chorégraphe
Léa Rault lors d’un stage en décembre 2023

 

Mardi 6 février, 20h, Le Tambour
Conférence dansée + DJ set

 

  • Le fil

Mercredi 14 février, 13h, Salle Pina Bausch
Cette représentation est une version « augmentée » du récit parlé et dansé Le fil par la présence d’étudiant·es en Arts du spectacle de Rennes 2 ayant participé à un workshop avec le danseur et chorégraphe Sylvain Prunenec

 

  • Pause théâtre

Jeudi 15 février, 12h45, Salle Pina Bausch
Rencontre avec Sylvain Prunenec
Modération : Chloé Lavalette-Leprat, ATER en études théâtrales

 

  • Performette

Mercredi 14 février, 19h30 et 22h, Le Triangle
Autour du spectacle Je badine avec l'amour...(mercredi 14 février, 21h, Le Triangle)

Performette est un projet performatif initié par des étudiant·es en Arts plastiques et un enseignant qui ne fait qu’encourager des formes, des potentiels d’idées et des envies potentielles.

La performance collective sera menée par Lenaïs Parat (19h30) et Performette (22h) sera coordonné par Olga Pineau, Francis Raynaud et Clémence le Berrigaud.

 

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Site du festival www.festival-waterproof.fr

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