Service culturel

photographie

Exposition - The Levitation Project by Forgetmat 

Contenu sous forme de paragraphes
Personne qui vole
Légende

AMERICAINE # 1 (Vélodrome National, SQY, France, 2022) © Forgetmat

THE LEVITATION PROJECT BY FORGETMAT
EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE DE MATHIEU FORGET

En partenariat avec le festival Waterproof, plongez dans la danse ! et en lien avec la mission Jeux Olympiques 2024 de l’Université Rennes 2

Mathieu Forget alias Forgetmat est un artiste en mouvement.

Originaire de Paris, danseur, photographe et directeur artistique, il incarne une nouvelle vision de la danse autant digitale que réelle. Ancien joueur de tennis, Forgetmat aspire à promouvoir la liberté d’expression, le dépassement de soi-même et challenge notre perception du monde. Son art est de capturer en photo un moment éphémère de son mouvement en lévitation. Grâce à ses photos et ses vidéos, cet artiste pluridisciplinaire également connu sous le nom de « Flying Man » défie les lois de la physique et contribue à mélanger les styles. Il partage ses créations sur les réseaux sociaux et démocratise l’art avec sa galerie accessible dans le monde entier.

À travers ses mouvements il rend grâce à la musique, la photographie et le monde audiovisuel. Passionné par l’architecture, les lignes et les couleurs, Forgetmat met en valeur le monde qui l’entoure en créant des concepts vertigineux et poétiques. Après de nombreuses collaborations avec des artistes, athlètes et marques internationales, Forgetmat continue à aller à la rencontre de nouveaux univers créatifs et présente aujourd’hui son premier projet en nom propre, « The Levitation Project by Forgetmat ».

Cette exposition est produite par le service culturel de l’Université Rennes 2.


logo

WATERPROOF, PLONGEZ DANS LA DANSE !

L’Université Rennes 2 est partenaire du festival Waterproof ! Retrouvez toutes les propositions émanant de la communauté universitaire dans notre programmation.


La saison culturelle de l'Université Rennes 2 est soutenue par le webzine culturel Unidivers.

Logo Unidivers

Exposition - Vénus

Contenu sous forme de paragraphes
Femme allongée nue avec un chien
Légende

Femme allongée © Linda Tuloup

VÉNUS, EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE DE LINDA TULOUP
Dans le cadre du focus sur le désir

Vernissage jeudi 1er févier à 18h, en présence de Linda Tuloup

Linda Tuloup s’approche de ce mystère où la nudité s’ouvre aux éléments. Elle enflamme ses polaroïds en un doux geste sorcier, expose les corps à la nuit des forêts ou se glisse, nue, dans les plis ardents de la lumière.

Ici la nudité n’est pas un spectacle, c’est une proposition de vérité. Elle permet d’atteindre ou de caresser l’inconnu, l’immémorial, l’invisible. Pas de précision de temps : un corps est venu. Le voici à la lumière. Dans un opéra presque immobile, l’image parle sa langue obscure. Le corps boit le monde et le devient.

Cette puissance d’étreinte est le signe de Vénus.

Vénus est une invitation, une initiation secrète, une traversée du feu.

L'exposition regroupe un ensemble de photographies : des photographies en noir et blanc prises au moyen format et des polaroids brûlés. Dans les premières des forêts s'embrasent, des arbres penchent, brûlent et disparaissent derrière une fumée blanche. La nudité d’une femme ne cesse de se métamorphoser. « J’ai fait disparaître le rouge, les photos sont en noir et blanc mais le rouge -le feu- est là, à l’intérieur des corps ».

Dans la série Brûlure, l’artiste convoque les flammes, ouvre les corps qui deviennent brûlure, seul désir. « J’ai vu dans cette plaie un élargissement de l’être, une brèche par laquelle la lumière peut nous toucher. Car le feu attaque du dedans et creuse au cœur de l’être. Et ce qu’il a illuminé en garde pour toujours une couleur ineffable ».

C’est dans cette intimité que nous sommes invité·es.

Linda Tuloup est représentée par la galerie Olivier Waltman (Paris / Londres).


RENCONTRE
À la suite du vernissage de l’exposition qui se tiendra le jeudi 1er février à 18h, assistez à une rencontre avec la photographe plasticienne Linda Tuloup et l’écrivain Yannick Haenel. Plus d'infos.


La saison culturelle de l'Université Rennes 2 est soutenue par le webzine culturel Unidivers.

Logo Unidivers

Exposition - Rendre la chair à la joie

Contenu sous forme de paragraphes
Homme assis
Légende

Absorbant © Manon Godet

RENDRE LA CHAIR A LA JOIE, EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE DE MANON GODET
Dans le cadre du focus sur le désir

« La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! » Mallarmé, Brise marine


Laissez ces vers de Mallarmé irriguer vos pensées, guider vos pas entre ces images.

Les photographies qui sont présentées sur ces murs vous invitent à interroger votre regard. Celui que vous posez sur ce que vous désirez. Celui qui recouvre qui vous désirez. À quoi s’adosse- t-il ? Quels sont les mythes, les poèmes, les tableaux, les idées qui le façonnent ? Ces photographies vous proposent un voyage au creux de ce désir, vers un autre, plus libéré, intérieur. Cette anatomie du regard nous entraîne sur un chemin aqueux à travers des bribes de l’histoire de l’art, du désir qu’elle sculpte.

Avec cette série de photographies à l’allure d’une fugue, j’explore un autre plan du désir que celui sur lequel travaillent mes mots au sein de ma poésie. Plus intimiste, plus scopique. La matérialité des images rend sensible le choc des corps, le grain de la peau, l’eau des gorges autant que la noirceur des pupilles. Quand je les regarde, je vois le discours que tiennent ces yeux brûlants. Je songe aux moments de partage qui ont vu naître ces images. Ceux qui permettent de ramener la chair à la joie.

Manon Godet

Exposition - Counter Power

Contenu sous forme de paragraphes
Photo d'une forêt
Légende

© Lewis Bush, Site d’un camp de concentration utilisé pour fournir de la main-d’œuvre au projet nazi de missiles V-2, Trassenheide, Allemagne, 2019.

COUNTER POWER, EXPOSITION DE LEWIS BUSH
Commissariat : Bruno Elisabeth

Dans le cadre de GLAZFESTIVAL #1

En se nourrissant des sciences humaines et sociales, l’artiste anglais Lewis Bush rend compte des différentes formes de pouvoirs contemporains. Les trois séries présentées en marquent le caractère insaisissable et leur absence de forme tangible propre. C’est ainsi que dans Metropole (2014 – 2018) la puissance de la City Londonienne est révélée à travers les vues d’une cité de verre, de béton, d’acier et de réseaux ou se jouent des enjeux financiers colossaux. Shadows of the State (2015 – 2018) retourne les méthodologies et les technologies de l’espionnage pour s’intéresser à de mystérieuses émissions de messages codés, destinés aux agents secrets. Depravity’s Rainbow (2018-2022) explore l’histoire contradictoire et ambiguë de l’ingénieur Wernher von Braun. Dévoilant les ambivalences morales de ce citoyen allemand, membre de la SS, devenu américain et pilier de la NASA. Ces travaux cherchent ainsi à dévoiler les ressorts du pouvoir en articulant différents registres de documents photographiques, imprimés et films, mis en scène dans des installations aux scénographies très élaborées.

VERNISSAGE
Jeudi 16 novembre, à partir de 18h à la Galerie Art & Essai


À VOIR AUSSI

Le vernissage de cette exposition est précédé à 17h d'une rencontre avec la photographe Mandy Barker au Tambour dans le cadre de  GLAZFESTIVAL #1.


Logo GLAZFESTIVAL

GLAZFESTIVAL #1 - Rencontres Internationales de la Photographie Rennes Bretagne

La première édition portera sur le thème « URGENCE » et se tiendra du 16 novembre au 7 janvier 2024 à Rennes et partout en Bretagne. Plus d’informations sur glaz-festival.com.

Table ronde - Rencontre avec Mandy Barker

Contenu sous forme de paragraphes
Portrait de mandy barker
Légende

Mandy Barker

RÉSERVER SA PLACE

TABLE RONDE, RENCONTRE AVEC MANDY BARKER

Dans le cadre du cycle Verdoyons ! et de GLAZFESTIVAL #1


Rencontre proposée en lien avec l'exposition Océan plastique de Mandy Barker, co- animée par Jean- Christophe Godet, directeur artistique du GLAZFESTIVAL et Sophie Mesplède, enseignante- chercheuse au département d’Anglais de l’Université Rennes 2.

Mandy Barker, née en 1964 au Royaume- Uni, a étudié la photographie à l’Université de Montfort, en Angleterre. Ses travaux, largement primés et exposés dans plus de quarante pays, ont été publiés dans National Geographic, The Guardian, New Scientist, Time notamment. En collaboration avec des scientifiques, elle se consacre à sensibiliser le public à la pollution plastique des océans afin de mettre en lumière les recherches actuelles sur ses effets néfastes sur la vie marine et, en fin de compte, sur nous-mêmes.

« Le but de mon travail est d’engager le public et de déclencher une réponse émotionnelle grâce à la combinaison d’une contradiction entre l’attraction de l’esthétique intiale et la prise de conscience liée au message sur la pollution plastique dans les environnement marins. Le processus de recherche est une partie vitale de mon travail, alors que les images que je réalise sont toujours basées sur des faits scientifiques, afin de garantir un travail intègre. » Mandy Barker


À VOIR AUSSI

Cet événement est suivi à 18h du vernissage de l’exposition Counter- Power de Lewis Bush présentée à la galerie Art & Essai.


Verdoyons ! 4e édition

Organisé par l’Université Rennes 2 tous les deux ans, ce cycle d’événements est consacré à notre rapport à la nature, à l’écologie et au développement durable. À travers une série d’ateliers, de rencontres, d’expositions et de spectacles, il nous invite à réfléchir aux enjeux environnementaux et à créer ensemble un futur durable et désirable ! Programmation 2023.


Logo GLAZFESTIVAL

GLAZFESTIVAL #1 - Rencontres Internationales de la Photographie Rennes Bretagne

La première édition portera sur le thème « URGENCE » et se tiendra du 16 novembre au 7 janvier 2024 à Rennes et partout en Bretagne. Plus d’informations sur glaz-festival.com.

Exposition - Trans en lumière

Contenu sous forme de paragraphes
Affiche des 44e rencontres TRANSMUSICALES
Légende

Affiche des 44e rencontres TRANSMUSICALES

EXPOSITION DU DIU ORIENTER RÉFLÉCHIR AGIR

TRANS EN LUMIÈRE : Le DIU ORA s’est invité aux 44èmes Rencontres Transmusicales !

Sélectionnés·es pour un « Parcours Trans » (parcours pédagogique et culturel avec l’association Les Trans, ayant pour but d’accompagner divers publics à la découverte des Transmusicales et plus largement de la scène rennaise - Ubu), les étudiant.e.s du DIU ORA - Diplôme Inter Université s’Orienter Réfléchir Agir, co-porté par Rennes 1 et Rennes 2 - ont travaillé tout au long du semestre avec et autour des Rencontres Transmusicales et de la scène musique actuelle rennaise, dans le cadre de leur cours « Expressions et Langages ».

Riches de leurs rencontres, de leurs découvertes, iels proposent de revenir, en images, sur les corps de métiers découverts tout au long du semestre. De la régie générale à la technique, des artistes aux méditeur·rices culturel·les, cette exposition photographique a pour objet la mise en lumière de leurs découvertes professionnelles, musicales et personnelles lors de la 44ème édition de l’iconique festival rennais : les Transmusicales. Un événement proposé à l’occasion des JACES - Journées des Arts et de la Culture dans l’Enseignement Supérieur.

Un événement proposé à l’occasion des JACES - Journées des Arts et de la Culture dans l’Enseignement Supérieur et dans le cadre des Rencontres Transmusicales.

Exposition - Los objetos hablan - Objects speak louder than words

Contenu sous forme de paragraphes
Photographie de fruits et légumes tombant d'une cagette en bois sur fond noir
Légende

© Vegetables, Agathe Madec

EXPOSITION DU CENTRE DE LANGUES

LOS OBJETOS HABLAN – OBJECTS SPEAK LOUDER THAN WORDS

L’exposition présente les travaux photographiques d’étudiant·es inscrit·es en Licence 1 Arts, Lettres et Communication ayant choisi l’UEO Remédiation espagnol et l’UEO Remédiation anglais. Ce travail intervient dans le prolongement d’une visite à l’exposition temporaire, Les Choses, présentée au musée du Louvre, d’octobre 2022 à janvier 2023. Cette exposition, conçue par l’historienne de l’art, Laurence Bertrand-Dorléac, permet de porter un regard neuf sur le genre de la nature morte.

Le cours de langue s’est construit autour d’une réflexion sur les choses qui nous habitent, nous accompagnent, nous envahissent. Après le voyage à Paris, les étudiant.es ont été invité·es à imaginer leurs propres natures mortes en combinant les contraintes et en jouant avec les codes du genre. Ces photographies nous dévoilent « leurs choses » : des éléments du monde animal, végétal, ou tout simplement, des objets. Ces photos nous parlent de leur personnalité et de leurs préoccupations, au-delà des mots.

Ce projet transversal, porté par Lidia Aguilar et Tiphaine Bourgeois, expérimente l’apprentissage par le faire. Il s’agit d’apprendre par le détour, hors-les-murs de l'université, de se rencontrer, de s'inspirer du voyage pour créer et s'affirmer, puis de partager l'expérience dans un lieu dédié à la créativité des étudiant.es.

L’exposition s’adresse à tout le monde, et tout particulièrement, aux personnes impliquées dans un cursus de mobilité internationale. En effet, les photos sont adossées à des fichiers-sons créés par les étudiant.es et disponibles en 3 langues : espagnol, anglais et français.

Humaines

Anne Puech, par Olivia Gay
Légende

Anne Puech posant devant une œuvre de l’artiste de rue Hyuro (décédée en 2020). © Olivia Gay, 2022.

Contenu sous forme de paragraphes

Photographies d'Olivia Gay.

Olivia Gay est une photographe engagée sur des questions documentaires et sociales. Diplômée de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles, elle est actuellement doctorante dans le cadre du programme de recherche et création Radian, ESAM Caen-Cherbourg. Depuis ses débuts, son travail explore la notion de regard dans des contextes qui tendent à altérer la visibilité des personnes tels que l’usine, le supermarché, les camps de réfugiés, le foyer d’hébergement ou la prison. À l’automne 2021, Olivia Gay a présenté à la Chambre claire une partie de ses séries consacrées aux ouvrières, caissières, dentellières et fermières au travail dans une exposition intitulée Envisagées. La photographe a ensuite été accueillie en résidence à l’Université Rennes 2 au cours de l’année 2022, pour aller à la rencontre d’enseignantes-chercheuses. Au sein de cette exposition, elle restitue une partie de cette enquête artistique, qui lie photographies et témoignages, et livre un récit sensible du quotidien de ces femmes scientifiques.

Exposition présentée dans le cadre de la Fête de la Science.

Eyes as Big as Plates

Eyes as big as plates
Légende

Edda (Iceland, 2013) © Riitta Ikonen & Karoline Hjorth

Contenu sous forme de paragraphes

Ce projet photographique des artistes finlandaise et norvégienne Riitta Ikonen et Karoline Hjorth a commencé comme un jeu autour du folklore nordique, puis a évolué vers une recherche continuelle du sentiment d’appartenance de l’être humain moderne à la nature.
La série est produite en collaboration avec des personnes à la retraite (fermier·es, pêcheur·ses, zoologistes, plombier·es, chanteur·ses d’opéra, femmes au foyer, artistes, universitaires…). Chaque image de la série présente une figure solitaire au milieu d’un paysage, habillée d’éléments environnants mais qui n’indiquent ni temps ni lieu. La nature agit ici à la fois comme contenu et comme contexte : les personnages habitent littéralement le paysage en portant des sculptures créées en collaboration avec les artistes.

En tant que participantes actives de notre société contemporaine, ces personnes âgées encouragent la redécouverte d’un groupe démographique trop souvent décrit comme marginalisé ou comme stéréotype. C’est ainsi que ce projet vise à produire de nouvelles perspectives sur qui nous sommes et quelle est notre place dans ce monde.

Exposition présentée dans le cadre de la Fête de la science.

v-aegirprod-1