Service culturel

Arts plastiques

Exposition | Trans en lumière

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Affiche des 44e rencontres TRANSMUSICALES
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Affiche des 44e rencontres TRANSMUSICALES

EXPOSITION DU DIU ORIENTER RÉFLÉCHIR AGIR

TRANS EN LUMIÈRE : Le DIU ORA s’est invité aux 44èmes Rencontres Transmusicales !

Sélectionnés·es pour un « Parcours Trans » (parcours pédagogique et culturel avec l’association Les Trans, ayant pour but d’accompagner divers publics à la découverte des Transmusicales et plus largement de la scène rennaise - Ubu), les étudiant.e.s du DIU ORA - Diplôme Inter Université s’Orienter Réfléchir Agir, co-porté par Rennes 1 et Rennes 2 - ont travaillé tout au long du semestre avec et autour des Rencontres Transmusicales et de la scène musique actuelle rennaise, dans le cadre de leur cours « Expressions et Langages ».

Riches de leurs rencontres, de leurs découvertes, iels proposent de revenir, en images, sur les corps de métiers découverts tout au long du semestre. De la régie générale à la technique, des artistes aux méditeur·rices culturel·les, cette exposition photographique a pour objet la mise en lumière de leurs découvertes professionnelles, musicales et personnelles lors de la 44ème édition de l’iconique festival rennais : les Transmusicales. Un événement proposé à l’occasion des JACES - Journées des Arts et de la Culture dans l’Enseignement Supérieur.

Un événement proposé à l’occasion des JACES - Journées des Arts et de la Culture dans l’Enseignement Supérieur et dans le cadre des Rencontres Transmusicales.

Concert dessiné | Je serai le feu - Diglee

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Couverture du livre « Je serai le feu » de Diglee
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Couverture du livre « Je serai le feu » de Diglee

JE SERAI LE FEU

UN CONCERT DESSINÉ DE DIGLEE, SOPHIE DAULL, HÉLOÏSE LUZZATI, LAURIANNE CORNEILLE ET FIONA MCGOWN

La poésie est loin de n’être qu’une affaire d’hommes ! Avec son anthologie très personnelle Je serai le feu, Diglee nous emmène dans ce qui a été pour elle un voyage, une épiphanie : la découverte d’un matrimoine littéraire oublié et méconnu d’oeuvres de poétesses, principalement du XIXe et XXe siècles. Cinquante femmes, devenues sa famille, dont elle exhume les écrits pour leur redonner une seconde vie.

À l’image de l’autrice, la violoncelliste Héloïse Luzzati est une « passeuse ». Avec l’association Elles women composers, regroupant un collectif d’artistes, elle travaille à la réhabilitation du matrimoine musical et à la diffusion des répertoires de compositrices invisibilisées, effacées de l’histoire…

Il n’y avait donc qu’un pas pour réunir ces deux univers artistiques en une création qui prend la forme d’une lecture musicale dessinée, hautement poétique.

Mis en scène, incarnés et incantés par la comédienne Sophie Daull pour lesquels elle prêtera sa voix, les vers des poétesses Rosemonde Gérard, Anna de Noailles, Marceline Desbordes‑Valmore, Louise de Vilmorin ou encore Marina Tsvetaeva (re) trouveront leur correspondance musicale.

Alternant entre duo ou trio, la violoncelliste Héloïse Luzzati, la pianiste Laurianne Corneille, et la chanteuse mezzo soprano Fiona McGown joueront ces compositions inconnues de tou·tes, sous la plume de Diglee qui, quant à elle, dessinera en direct et redonnera un visage à toutes ces poétesses injustement oubliées.

À l'issue de cet événement, une vente de livres sera proposée par la librairie l'Établi des mots.

Un spectacle qui s'inscrit dans le cadre du Printemps des poètes.


En lien avec cet événement, Sophie Daull animera un atelier d’écriture réservé à la communauté universitaire le mardi 28 mars à 12h30.

Exposition | Los objetos hablan - Objects speak louder than words

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Photographie de fruits et légumes tombant d'une cagette en bois sur fond noir
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© Vegetables, Agathe Madec

EXPOSITION DU CENTRE DE LANGUES

LOS OBJETOS HABLAN – OBJECTS SPEAK LOUDER THAN WORDS

L’exposition présente les travaux photographiques d’étudiant·es inscrit·es en Licence 1 Arts, Lettres et Communication ayant choisi l’UEO Remédiation espagnol et l’UEO Remédiation anglais. Ce travail intervient dans le prolongement d’une visite à l’exposition temporaire, Les Choses, présentée au musée du Louvre, d’octobre 2022 à janvier 2023. Cette exposition, conçue par l’historienne de l’art, Laurence Bertrand-Dorléac, permet de porter un regard neuf sur le genre de la nature morte.

Le cours de langue s’est construit autour d’une réflexion sur les choses qui nous habitent, nous accompagnent, nous envahissent. Après le voyage à Paris, les étudiant.es ont été invité·es à imaginer leurs propres natures mortes en combinant les contraintes et en jouant avec les codes du genre. Ces photographies nous dévoilent « leurs choses » : des éléments du monde animal, végétal, ou tout simplement, des objets. Ces photos nous parlent de leur personnalité et de leurs préoccupations, au-delà des mots.

Ce projet transversal, porté par Lidia Aguilar et Tiphaine Bourgeois, expérimente l’apprentissage par le faire. Il s’agit d’apprendre par le détour, hors-les-murs de l'université, de se rencontrer, de s'inspirer du voyage pour créer et s'affirmer, puis de partager l'expérience dans un lieu dédié à la créativité des étudiant.es.

L’exposition s’adresse à tout le monde, et tout particulièrement, aux personnes impliquées dans un cursus de mobilité internationale. En effet, les photos sont adossées à des fichiers-sons créés par les étudiant.es et disponibles en 3 langues : espagnol, anglais et français.

Exposition | Michel Blazy

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Affiche de l'exposition de Michel Blazy
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© Michel Blazy

EXPOSITION DU MASTER 2 MÉTIERS ET ARTS DE L’EXPOSITION

MICHEL BLAZY

Dans le cadre de son projet annuel, le Master professionnel « Métiers et arts de l’exposition » de l’Université Rennes 2 présente, à la Galerie Art & Essai une exposition consacrée à l’oeuvre de Michel Blazy.

La travail de Michel Blazy, artiste français diplômé de la Villa Arson à Nice, s’articule autour de la notion du temps par l’intermédiaire de matériaux organiques. Loin de se placer dans la recherche d’un art écologique, comme on peut le penser au premier abord, Blazy s’intéresse au vivant de manière générale et non à la nature de manière spécifique. Sa pratique s’articule autour de ce qui l’inspire au quotidien, puisant dans les matériaux organiques issus de la vie de tous les jours comme les pâtes, la crème dessert, les purées de légumes, mais également le papier ou le plastique.

L’utilisation du vivant est un moyen pour l’artiste de laisser libre cours à ses expérimentations, à son imagination et à l’imprévisible. Cette dernière notion possède une place importante : en évoluant et en se transformant tout au long de l’exposition, les matières périssables se développent dans un environnement où l'artiste ne dicte pas ses souhaits. Cette évolution permet ainsi aux oeuvres de rester en phase créative. Le public est donc le spectateur des altérations qui s’opèrent, comme avec l’apparition de moisissures et d’odeurs. Les temporalités font partie intégrante de la création de l’oeuvre, et non l’artiste même, qui est en charge de la conception.

Les étudiant·es du master Métiers et Arts de l’Exposition, en collaboration avec Michel Blazy, ont pour projet d’inscrire ces différentes notions dans la Galerie Art & Essai, tout en étant en lien avec l’écosystème du campus.

Vernissage le jeudi 16 mars à 18h.

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Exposition | Allegoria

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Autoportrait du photographe Omar Victor Diop
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Allegoria 1, 2021 © Omar Victor Diop
Courtesy MAGNIN-A Gallery, Paris

PHOTOGRAPHIES D'OMAR VICTOR DIOP

Avec Allegoria, le photographe se saisit de la question fondamentale de l’environnement et de sa portée sur le continent africain et au-delà. Cette fable contemporaine figure l’allégorie d’une humanité soucieuse d’une nature qui pourrait n’être plus qu’un souvenir des manuels d’histoire naturelle ou des contes pour enfant.

Tout comme pour ses séries Liberty et Diaspora, dans Allegoria Omar Victor Diop se met en scène dans ses photographies.

À 41 ans, Omar Victor Diop est l’un des photographes les plus prometteurs de sa génération. Artiste autodidacte, son oeuvre s’inscrit directement dans l’héritage de la photographie de studio africaine de Seydou Keïta, Mama Casset ou Malick Sidibé, un genre dont il a su s’approprier les codes tout s’en affranchissant. Lauréat des Rencontres de Bamako en 2011, Omar Victor Diop s’est depuis illustré avec plusieurs séries marquantes plébiscitées dans le monde entier.

« L’autoportrait est une façon pour moi de m’investir dans une cause, de soutenir et défendre une idée. Et puis l’autoportrait me permet une plus grande flexibilité. Il me permet le dédoublement en très grand nombre de ma personne, je me sens bien dans cet exercice très ludique ». Omar Victor Diop

Dans le cadre de Rennes au pluriel, le rendez-vous de la diversité culturelle et en partenariat avec le webzine culturel Unidivers.

 

Logo du webzine Unidivers

Mardi de l'égalité | Art contemporain et culture queer

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Des paillettes aux couleurs LGBTQI+
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© Sharon Mccutcheon, Unsplash

CONFÉRENCE

ART CONTEMPORAIN ET CULTURE QUEER : UNE HISTOIRE DE REPRÉSENTATIONS

Quentin Petit Dit Duhal est docteur en histoire de l’art, attaché temporaire d’enseignement et de recherche, et cofondateur de l’ARQ (Arts et Représentations Queer), collectif de recherche sur l’histoire des arts féministes et queer.

Les artistes queer représentent une minorité en soi : iels sont peu visibles dans les expositions, et si iels le sont, les questions de sexualité et de genre sont souvent évacuées. Pourtant, l’émergence d’une politique visuelle queer dans la seconde moitié du XXe siècle occupe une place à part entière dans l’histoire des représentations artistiques. Comment cette histoire s’est constituée ? Peut-on parler d’« art queer » ?

Cette conférence propose une étude d’images et de trajectoires d’artistes queer en remettant en contexte leur engagement et la manière dont iels déplacent les catégories de genre, de sexe et de sexualité. Elle montre ainsi que ces artistes, par leurs représentations, ont un impact très direct dans la transformation de la société. On verra également les enjeux que le queer représente pour l’histoire de l’art et comment il nourrit de nouveaux discours sur l’hors-norme, l’exclusion et la hiérarchie, notamment grâce aux recherches des jeunes chercheur·ses.

À l'issu de cet événement, une vente de livres sera proposé par la librairie Le Failler.


FOCUS SUR LA CULTURE QUEER

En janvier, la saison culturelle de l'Université Rennes 2 met à l'honneur la culture LGBTQIA+.
Dans ce cadre, plusieurs événements vous sont proposés sur le campus Villejean en partenariat avec la Mission Égalité de l'université : 

> Exposition | Tarot Trans, par Zaida Gonzalez Rios 

> Mardi de l'égalité | « Art contemporain et culture queer : une histoire de représentations », avec Quentin Petit Dit Duhal

> Spectacle | Cabaret La D.R.A.G.

> Exposition | Portraits drags, en partenariat avec l’association MultiRegards


 

À propos des Mardis de l'égalité

La Mission égalité et le service culturel de l’Université Rennes 2 organisent conjointement les Mardis de l’égalité, cycle de rencontres qui s’attache à créer des temps d’échanges et de débats sur l’égalité et la lutte contre les violences et discriminations. Ces temps de réflexion et de sensibilisation sont gratuits et ouverts au grand public.

Logo des Mardis de l'Égalité
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Exposition | Tarot Trans

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Photographie de Zaida González Ríos
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El sol, série Tarot Trans © Zaida González Ríos, Courtesy Galerie NegPos

PHOTOGRAPHIES DE ZAIDA GONZÁLEZ RÍOS

Tarot Trans » est un projet photographique de l’artiste chilienne Zaida González Ríos qui s'approprie les 22 arcanes majeurs du Tarot en remplaçant les figures des cartes par des modèles non standardisés, tels que des personnes transgenres, des migrants, des personnes handicapées, des personnes âgées et d'autres personnes qui correspondent au sens de la carte attribuée.

Au Chili, les groupes minorisés sont nombreux à s’organiser et à manifester pour que leurs droits soient respectés, pour l’inclusion sociale et pour la fin de la discrimination. Les groupes LGBTQIA+ et les migrants en particulier, ont été victimes d'abus répétés, d'homicides et de féminicides volontaires.

La relation qui se crée entre le tarot et ces groupes de personnes, grâce au support même, doit implicitement servir à faire tomber les masques. Ce jeu de cartes est consulté par de nombreuses personnes appartenant à toutes les couches socioculturelles. Bénéficiant d'une diffusion massive et populaire, il s’agit donc d’un média très visible et auquel on peut facilement s'identifier. Il est construit sur l'union du langage et de la vision. Le tarot est également l’une des traditions magiques principales de l'occident, il véhicule une riche iconographie et de nombreux symboles intéressants à contextualiser dans une représentation non normative.

Chaque carte a permis d'extraire un ensemble de valeurs identificatrices pour une réflexion qui se manifeste à travers des concepts tels que : la liberté, l'indépendance, le pouvoir, la création, l'autorité, la sagesse, la revendication, l'amour, la lutte, la transcendance, la victoire et la guérison, entre autres.

Vernissage le mercredi 18 janvier à partir de 13h en présence de l'artiste.

Une exposition présentée dans le cadre de la 34e édition du festival Travelling qui poursuit cette année ses explorations en terres cinématographiques chiliennes.

Contenu du texte déplié

Les photographies de l’exposition « Tarot Trans » de Zaida González Ríos sont disponibles à la vente.

  • L'image 12x18 dans un 21x30, signée et numérotée sur 15 exemplaires : 250€
  • L'image 20x30 dans un 30x40, signée et numérotée sur 10 exemplaires : 450€
  • L'image 40x60, signée et numérotée sur 5 exemplaires : 750€
  • Les tirages exposés et imprimés sur papier photo en format 33.3x50 : 600€.

Renseignements et commandes avant le vendredi 17 février auprès du service culturels-culturel [at] univ-rennes2.fr (s-culturel[at]univ-rennes2[dot]fr) / 02 99 14 11 47
Paiement auprès de la galerie NegPos qui adressera par voie postale les clichés commandés.

Exposition | Tumultes d'eaux, formes de pierres

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Photographie du Glacier de la Charpoua
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Glacier de la Charpoua, photographie issue de la série Glaciers, 2012-2018 © Aurore Bagarry, Courtesy Galerie Sit Down

PHOTOGRAPHIES D'AURORE BAGARRY

COMMISSARIAT : PHILIPPE BOULVAIS

Les paysages sont les formes de la Terre, sculptées par l’érosion. Le maître d’ouvrage est l’eau, qui dessine de larges peintures, où les couleurs sont apportées par les végétaux, herbes et algues. Pour le reste, la roche est grise, la glace est blanche.

Aurore Bagarry rend compte de ces arts naturels par le sien, la photographie.

L’homme n’est pas absent de l’atelier. En ouvrant des carrières, il met au jour les structures géologiques profondes ; en ouvrant des regards dans le sol de Paris, il dévoile les circuits d’eaux, les artères de la ville. Les photographies qu’Aurore Bagarry a prises dans les carrières du Bassin de Paris illustrent la succession des couches sédimentaires, les falaises de la Manche mettent à jour des roches exondées de leur océan jurassique, aussi bien que des granites et des gneiss résultant des tectoniques d’âges dévoniens et carbonifères.

Dans les Alpes, les roches sont mises à jour par l’effondrement de larges blocs, érosion de formes par les glaciers. Aurore Bagarry en détaille la mécanique. Elle se fait voyeuse aussi, lorsqu’elle nous révèle l’eau pénétrant au coeur des pierres, le corps des roches ; ses photographies rendent compte de la force et du tumulte, de la passion unissant les eaux et les pierres.

Vernissage le jeudi 12 janvier, à partir de 18h.

Exposition | Les oiseaux ne se retournent pas

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Dessin d'une petite fille de dos regardant la mer
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Illustration de Nadia Nakhlé

EXPOSITION DU ROMAN GRAPHIQUE DE NADIA NAKHLÉ.

Un jour, la décision a été prise : Amel, orpheline de 12 ans, partira. Il n'est pas ici question de choix : son pays est en guerre. Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu.

À la frontière, Amel perd la famille chargée de l'accompagner et se retrouve seule. Sur sa route, elle rencontre Bacem, un déserteur et joueur de oud.

Ensemble, l'enfant et le soldat apprennent à se reconstruire. Au moins un quart des personnes exilées en Europe sont des mineurs isolés. Ils fuient la même barbarie que les adultes. Que se passe-t-il dans la tête d’un enfant qui échappe à la guerre ? C’est la question qui traverse ce récit.

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Exposition de dessins de Nadia Nakhlé tirée du roman graphique Les Oiseaux ne se retournent pas publié aux Éditions Delcourt.


Événement présenté en lien avec le spectacle éponyme de Nadia Nakhlé porté par la Cie Traces & Signes, programmé en décembre 2022 au Tambour, dans le cadre du festival Transversales « Itinérance »

BD concert - Les Oiseaux ne se retournent pas

Illustration d'une petite fille de dos face à la mer
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© Illustration de Nadia Nakhlé

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Spectacle musical et dessiné de Nadia Nakhlé, porté par la Cie Traces & Signes. D'après le romain graphique du même nom de Nadia Nakhlé publié aux éditions Delcourt.

 

Un jour, la décision a été prise : Amel (« espoir » en arabe), orpheline de 12 ans élevée par ses grands-parents, partira. Elle échappera à la barbarie et elle sera heureuse. Il n‘est pas ici question de choix : son pays est en guerre. Pour Amel, partir signifie oublier la guerre et reprendre le chemin de l’école. Tout a été prévu : elle changera d'identité et deviendra Nina, la deuxième fille de la famille chargée de prendre soin d'elle. Nous suivons Amel dans ce long voyage vers l’inconnu et revenons sur son passé et ses souvenirs. Malheureusement, rien ne se déroulera comme prévu. A la frontière, Amel perd la famille qui l’accompagne. L‘enfant se retrouve seule et rencontre Bacem, un ancien soldat et musicien joueur de oud. L'enfant se lie d’amitié avec le soldat. Ensemble, ils traversent la douleur de l’exil et apprennent à se reconstruire.

Le spectalce associe projections animées, musique et création sonore immersive. Sur scène, sont présents le compositeur et interprète Mohamed Abozekry, au oud et Ludovic Yapoudjian au piano, ainsi que les comédiennes et chanteuses, Mayya Sanbar et Negar Hashemi qui portent le texte.

Spectacle proposé dans le cadre du Festival Transversales, édition "Itinérance" et en lien avec la journée mondiale des droits humains. À l’issue du spectacle, une vente de livres sera proposée par la librairie Critic.

Une exposition de planches de la bande-dessinée sera présentée sur la Mezzanine en lien avec le concert, du 7 décembre au 20 janvier.


Nadia Nakhlé Auteure, texte, dessin, mise en scène / Mohamed Abozekry Musique, oud interprète / Mayya Sanbar Comédienne, chanteuse
Negar Hashemi Comédienne / Chanteuse / Ludovic Yapaudjian Pianiste interprète / Stéphanie Verissimo Sound design & régie son
Gaëlle Fouquet Création Lumière, & régie générale  / Lorenzo Marcolini Assistant Lumière & régie / Ahlame Saoud Scénographie & costumes

SOUTIEN ET PARTENAIRES

Le Cube - Centre de création numérique - Production de l'exposition, Stereolux - Résidence de création et diffusion, Fonds Nouveaux médias du CNC, Soutien de l'auteure à l’écriture, Fonds de soutien Mission Cinéma de la Mairie de Paris, Soutien à l’écriture et au développement, L'Institut français de Meknès (Maroc), Dans le cadre de l’exposition «EXIL» de Nadia Nakhlé, Amnesty international - Commission des droits de l’enfant, La Cimade - Partenaire à la diffusion du projet

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